Exemple article 1
Par le partage d’expérience, de savoirs et de savoirs-faire, un véritable économiste a le devoir de mettre à la portée de tous les moyens d’accroître ses revenus et de gérer ses dépenses. Une partie de son travail doit consister à vulgariser et diffuser les pratiques légales, équitables et éthiques dans le but non seulement de donner accès aux conditions de vie dignes de notre état de droit, mais aussi de permettre leur constance qualitative et quantitative.
S’assurer d’un revenu correct en optimisant sa situation fiscale, administrative, sociale et financière. Mais aussi en développant des projets rémunérateurs pour faire augmenter ses revenus. Car gagner plus, ce n’est pas dépenser moins, c’est gagner plus et dépenser mieux. En effet, dans la plupart des cas, la dépense à court terme est un investissement à moyen et long terme. Dépenser à bon escient pour acheter et consommer une alimentation saine respectueuse de nos besoins énergétiques, c’est-à-dire en quantité adaptée, produite dans des conditions environnementales soutenables. Courriers, budget, projets, cartes et applications bancaires : voilà les bases d’une gestion moderne où le papier est complété par l’informatisation grâce au smartphone, à l’ordinateur et à la tablette.
Gérer, c’est prévoir, dit-on. Mais comment prévoir aujourd’hui dans un contexte parfois incertain ? Gérer, ce n’est pas se priver (si on pense correctement à soi, on pourra donner aux autres). C’est peut-être parfois tempérer une dépense, la différer. Comment créer un matelas virtuel provisoire de dépense grâce au crédit, bien moins risqué et coûteux qu’un crédit bancaire ? Ce matelas pouvant être bénéfique au moment où l’on envisage un nouveau projet de revenu, où l’on veut élever son niveau de vie dans une société à deux vitesses où la classe moyenne disparaît. Grâce à l’ingéniosité et aux nouvelles technologies, on peut louvoyer entre les écueils. Il n’est pas interdit d’être astucieux dans sa gestion quotidienne tant que c’est légal, éthique et écologique.